BALADE DANS CLAIRE CITE.
La rue principale, colonne vertébrale de la cité a été dénommée rue Pierre Cérésole en mémoire du fondateur du Service Civil International.
Les autres avenues, direz-vous, ont des noms peu originaux, puisqu’étant des noms de fleurs. Détrompez-vous. Avant les travaux, les iris poussaient bien près de cette place, située non loin de la cressonière du fermier du château de la Balinière. Il faut se souvenir également qu’une belle haie d’églantines bordait un grand pré couvert de marguerites situé entre la clôture du château et la charmille. Les primevères s’épanouissaient le long du grand mur sud de la propriété tandis que les pervenches se baignaient le long de l’ancien ruisseau. Une allée de lauriers longeait le mur des “grottes” et les violettes se cachaient en plein coeur des bois. Seuls, les oeillets sauvages parsemaient la colline où a été bâti l’immeuble devant le square.
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